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harcèlement et maltraitance suite
28/03/2009 10:52
si je n'ai pas de problème de connexion je vais pouvoir diffuser les autres courriers que j'ai fait pour expliquer ma révolte face au laxisme et à l'hypocrisie de nos dirigeants en ce qui concerne un enfant maltraité. j'ai la sensation qu'on ne parle de maltraitance que quand une victime fait la une des faits divers, mais je confirme que ni le gouvernement ni les ministères ni la police ni les sois disant protecteurs de l'enfance ne s'impliquent avant qu'il n'y ai de victime. Pour répondre à "sarcasmes" dans tous mes courriers j'ai reçu trois réponses, une du cabinet de l'élysée,une du secrétariat du ministère de la justice et une du président du tribunal de bordeaux qui détournent mes propos en disant qu'on ne peut intervenir sur un jugement rendu, les juge ayants tout pouvoir. Pourtant je condamne assez clairement le fait que les juges ne tiennent pas compte des signalements ou des faits mettant un enfant en danger et que par la flemme ou le manque de temps de consulter ou de tenir compte des signalements ils se rendent en quelque sorte coupable de non assistance à enfant en danger, ce qui ressemble pour moi à une faute professionnelle. Deux choses m'échappent, la première est que dans une démocratie le peuple est souverain,ce qui n'est pas le cas de mon fils et la seconde est que j'ai lu que dans la hiérarchie de la justice les supérieurs des juges sont entre autre les trois qui ont répondu à mes courriers assez vaguement. Je cite aussi la police car cela fait plus d'un mois que le compagnon de la mère de mon fils me prive de mon fils . Daprés les propos de mon fils j'ai déposé plainte contre ce monsieur pour maltraitance et personne n'intervient. Mais j'oublié un détail, sommes nous vraiment une démocratie et sommes nous vraiment égaux en droit et en faits? J'en doute.
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