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Début de l'histoire
02/03/2009 12:16
pour commencer un courrier au président de la république et au ministère de la justice qui résume en partie ce que souffre nos enfants et principalement le mien.D'autres courriers avec ou sans réponse accompagnés de fait réels démontrant que nous ne sommes pas tous égaux en droits et en faits et que les mauvais traitement sur mineur qu'ils soient physiques ou psycologiques ne sont pas pris au sérieux par la justice ou tout autre organisme de protection de l'enfance,suivront .Je suis persuadé que beaucoup d'autres enfants subissent les mêmes sévices que le mien sans que jamais rien ne soit fait pour leur venir en aide.Le harcèlement morale même si il peut avoir des consèquences irréversibles sur l'équilibre psycologique et sur l'avenir d'un enfant n'est pas pris au sérieux par le gouvernement qui est la première autorité au dessus de la justice.Pour ne pas voire tout noir je pense que certains enfants bien nés ou issus de certains milieux favorisés,auront plus de considération que le mien qui n'est qu'un enfant du peuple,qui souffre autant que d'autres,mais son nom et inconnu des privilégiés de la justice et de la protection de l'enfance. >>>>>>
le 28 janvier 2009
Mr Le Président De La République Madame La Ministre
Dossier/réf : Cabinet Jaf 26 et Tribunal pour Enfants Affaire : Cabinet Jaf 23 Affaire :
Monsieur le Président De La République et Madame Le Ministre,
Par la présente, je me permet de vous écrire pour vous relater des faits graves concernant mon fils âgé de 9 ans.
Vous parlez d’égalité, de moralité, de protection de l’enfance, enfin de toutes ces valeurs qui font le fondement de notre république. Mais y avons-nous tous droits? Vos services et ceux de la justice qui recevront également ces courriers pourront constater tout ce que je vous écrit, en ce procurant tout les jugements, signalements, enquêtes sociales qu’aucun juge, procureur ou représentant de la protection de l’enfance à Bordeaux n’a daigné prendre au sérieux.
Au mois de février 2003, mon ex épouse mme z quitte le domicile conjugal pour refaire sa vie avec un homme, (mr x) me laissant notre enfant nommé Alexandre, âgé à l’époque de 4 ans. Mr x fait de même en laissant ses deux enfants, Laura et Alexandre, âgés de 5 et 3 ans à leur mère. (Mme y) Quelques mois plus tard, je me rapproche de Mme y et nous vivons encore ensemble à ce jour. Mais ce à quoi nous n’avions pas pensé, c’est que Mr x et Mme z s’opposeraient à notre liaison. Et la seule solution qu’ils aient trouvée c’est d’utiliser leurs enfants.
De nombreux évènements déstabilisants pour ces trois enfants, il y en a eu et il y en a encore aujourd’hui, 6 ans après. Certains ont été jugés, entre autre le fait que Mr x enlève ses deux enfants à leur mère pendant un an, sans qu’aucun tribunaux Bordelais ou représentant de la force de l’ordre ne se préoccupe du traumatisme subi par ces deux enfants.
Malgré toute la pression que subissaient ces trois enfants qui n’avaient d’autres consignes que refuser notre paternité ou maternité et l’autorité de leurs enseignants, Mr x et mon ex épouse Mme z ont été déclaré inapte à s’occuper de leurs enfants et souvent mis en garde face à leurs attitudes et comportements déstabilisants et dangereux pour les enfants. Mais Mr x et Mme z continuent et persistent et malheureusement, le préjudice que subissent les trois enfants n’est que psychologique, depuis peu physique mais pas suffisamment pour que malgré les signalements, les Juges Bordelais interviennent avant qu’un drame ne se produise
Légalement domicilié à mon adresse, comme je l’ai dit récemment, mon fils doit refuser mon autorité et celles des personnels soignants et éducatif qui s’occupe de lui. Mon fils doit appeler « papa » Mr x et dire mon prénom en parlant de moi au domicile de sa mère. Les deux enfants de mr x ont les mêmes consignes et doivent appeler Mme z « maman » et dire le prénom de leur mère quand ils parlent d’elle au domicile de leur père C’est la seule solution qu’ont trouvé Mr x et Mme z pour lutter contre le fait que nous avions été reconnu par la justice plus stable et plus apte à nous occuper de nos enfants. Je vous laisse imaginer les dégâts que cela peut produire chez un enfant comme le mien suivi déjà depuis sa naissance pour des problèmes comportementaux. Mon fils et le fils de Mme y sont suivi scolairement dans des Instituts thérapeutiques éducatifs et psychologiques pour essayer de les aider à lutter contre leurs soucis comportementaux liés en grande partie aux préjudices moraux qu’ils subissent régulièrement depuis 6 longues années.
Melle A, Juges Aux Affaires Familiales a rendu un jugement le 16 juin 2008. Sans fondement, sans aucun élément de motivation et surtout sans consulter les multiples signalements et documents en sa possession et en possession de Juge Pour enfants a inversé le droit de garde et envoie mon fils Alexandre vivre chez sa mère, dans un élément qui lui est reconnu néfaste. Pendant une audience au Juge Pour Enfants du 31 juillet 2008, un signalement de l’ITEP où mon fils était suivi, survient précisant qu’Alexandre, depuis des mois, s’était posé et qu’on pouvait envisager de lui faire suivre un cursus ordinaire à temps partiel mais que depuis qu’il était au courant qu’un transfert de domicile risquer de se produire, il avait repris ses troubles comportementaux et des gestes auto destructeur comme strangulation ou autre punition qu’il s’infligeait lui même. Ce qui n’a pas alerté ni empêché Mme B, Juge Pour Enfants de confirmer le 4 août 2008 le Jugement de melle A. Depuis 6 mois qu’Alexandre est scolarisé à l’ITEP proche du domicile de sa mère, il n’a encore aucun suivi thérapeutique et il est de plus en plus perturbé.
Dans de multiples courriers fait aux Juges Aux Affaires Familliales et Juges Pour Enfants, j’ai déjà dénoncé leur laxisme et comme je le fais dans ce courrier, les condamnent de non assistance à enfant en danger. (utilisant mon droit à la liberté d’expression).
Le 10 décembre 2008, un Jugement est rendu concernant Mr x et Mme y par Mr C Juge Aux Affaires Familliales. Les droits de visite de Mr x se trouvent réduits concernant sa fille âgée de 10 ans. En effet, Laura a souhaité être entendue par le Juge ne voulant plus aller chez son père, ne supportant plus ses violences et son harcèlement.
Le 4 janvier 2009, j’ai ramené mon fils au domicile de sa mère et j’ai été agressé physiquement par Mr x ce qui m’a coûté une semaine d’interruption temporaire de travail. J’ai aussitôt alerté les gendarmes du secteur (33) qui n’ont pas jugé utile de me porter secours ni de se déplacer au domicile de Mr x. Pour se rendre compte si mon fils était en bonne santé car vue l’état d’ébriété dans lequel se trouvait Mr x à mon avis, cela devenait dangereux pour mon fils. Alors que le 4 août 2008, Mr x et Mme z ont réussi à faire déplacer les gendarmes d’un autre secteur (33) à mon domicile où je n’étais pas présent, pour forcer ma mère agée de76 ans à rendre mon fils à sa mère sans aucune raison ni jugement.
Alors Monsieur le Président De La République, Madame Le Ministre et vous tous du gouvernement qui recevraient ces courriers, je vous le demande : Allons nous attendre qu’il arrive un drame? Ou la justice et la sécurité est vraiment le Droit de tous les citoyens?
Je vous demande, Monsieur Le Président De La République, Madame Le Ministre, d’intervenir pour l’équilibre et la santé de mon fils. Dans l’attente, veuillez agréer, Monsieur Le Président De La République, Madame Le Ministre, l’expression de mes salutations distinguées.
Commentaire de sarcasmes (02/03/2009 12:57) :
Bonjour,
Pfff!! Quelle histoire?!! Le préjudice le plus immorale dans ces cas là
sont encore et toujours pour les enfants. Il est vrai que les lois
concernant toutes les procédures de divorces et gardes d'enfants
devraient être mieux étudiées afin que ces derniers n'en subissent pas
(ou peu)les conséquences.
C'est bien vous ayez fait un blog la-dessus car je ne pense pas que
vous soyez le seul à vivre ça.
Si vous avez une réponse par rapport à la lettre, ce serait bien aussi de
la publier sur ce blog.
Bonne chance dans toutes vos démarches.
à bientôt,
Sarcasmes
http://sarcasmes.vip-blog.com/
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harcèlement et maltraitance suite
28/03/2009 10:52
si je n'ai pas de problème de connexion je vais pouvoir diffuser les autres courriers que j'ai fait pour expliquer ma révolte face au laxisme et à l'hypocrisie de nos dirigeants en ce qui concerne un enfant maltraité. j'ai la sensation qu'on ne parle de maltraitance que quand une victime fait la une des faits divers, mais je confirme que ni le gouvernement ni les ministères ni la police ni les sois disant protecteurs de l'enfance ne s'impliquent avant qu'il n'y ai de victime. Pour répondre à "sarcasmes" dans tous mes courriers j'ai reçu trois réponses, une du cabinet de l'élysée,une du secrétariat du ministère de la justice et une du président du tribunal de bordeaux qui détournent mes propos en disant qu'on ne peut intervenir sur un jugement rendu, les juge ayants tout pouvoir. Pourtant je condamne assez clairement le fait que les juges ne tiennent pas compte des signalements ou des faits mettant un enfant en danger et que par la flemme ou le manque de temps de consulter ou de tenir compte des signalements ils se rendent en quelque sorte coupable de non assistance à enfant en danger, ce qui ressemble pour moi à une faute professionnelle. Deux choses m'échappent, la première est que dans une démocratie le peuple est souverain,ce qui n'est pas le cas de mon fils et la seconde est que j'ai lu que dans la hiérarchie de la justice les supérieurs des juges sont entre autre les trois qui ont répondu à mes courriers assez vaguement. Je cite aussi la police car cela fait plus d'un mois que le compagnon de la mère de mon fils me prive de mon fils . Daprés les propos de mon fils j'ai déposé plainte contre ce monsieur pour maltraitance et personne n'intervient. Mais j'oublié un détail, sommes nous vraiment une démocratie et sommes nous vraiment égaux en droit et en faits? J'en doute.
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courrier suite
28/03/2009 10:53
Mr A le 13 mars 2009
Juge Aux Affaires Familiales
Madame La Juge,
Pour faire suite à la décision de la Juge Pour Enfants rendue le 12 février dernier.
Mon fils n’a pas été scolarisé durant plusieurs semaines lorsque je l’ai gardé avec moi car il était malade. La Juge Pour Enfants cite une partie des propos assez vagues de l‘expert, psychiatre qu’elle interprète à sa façon. Que je ne puisse pas contester les Juges ayant tout pouvoir, c’est un faite mais dans aucune des décisions de la Juge Pour Enfants elle ne parle du signalement reçu en pleine audience le 31 juillet 2008 fait par le pédopsychiatre de l’ITEP Sthelin parlant du danger que courait mon fils en allant vivre chez sa mère et comment l’enfant y réagissait.
Que la Juge Pour Enfants prenne partie contre moi et qu’elle ne tiend pas compte du fait que mon fils soit harcelé ou maltraité, c’est son droit maintenant peut être que vous Madame La Juge Aux Affaires Familiales pourrait m’expliquer comment je fais pour voir mon fils alors que le compagnon de la mère de mon fils s’y ait encore violemment opposé le vendredi 13 mars dernier. Mon fils était affolé par la réaction du compagnon, j’ai préféré ne pas lui en rajouter et suis reparti sans mon fils. Je tiens à vous préciser que je n’ai pas revu mon fils depuis le 11 février. Le compagnon de la mère de mon fils se venge du fait que ses propres enfants refusent d’aller chez lui pour les violences qu’ils y subissent et ne veut plus me rendre mon fils. Ce qu’il a clairement dit devant la médiatrice. Mon fils a peut être besoin de voir sa mère mais doit il être harcelé et maltraité pour cela? J’espère vous faire changer d’opinion lorsque je serais parvenu à faire entendre mon fils par un vrai professionnel sans que ni sa mère ni moi-même ni personne ne soit à proximité de lui pour l’influencer ou le menacer comme cela s’est produit avant votre audience avec l‘éducateur de l‘AEMO ou encore l‘expert psychiatre. J’espère seulement y parvenir avant que mon fils ne devienne une victime et qu’il fasse la une des faits divers.
Veuillez agréer, Madame La Juge, mes salutations distinguées.
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courrier suite
28/03/2009 10:54
Ne regardez pas les dates des courriers, regardez seulement leurs contenus qui démontrent le titre du blog le harcèlement n'est pas pris en compte par le Président De La République, La Ministre De La Justice, Les Juges, Le Procureur...
Mr A le 16 février 2009
Mr Le Président Du Tribunal Mr Le Procureur De La République Mr Le Président De La République Mr l’Inspecteur Académique Me Le Président Du Conseil Général
Messieurs les Présidents,
Je m’adresse à vous car d’après mes recherches, c’est vous qui avaient autorité sur les Juges Bordelais. Ce courrier comme les nombreux aux mêmes sujets ne seront certainement pas pris en considération mais je tenais à le faire.
Depuis le départ de mon ex épouse en 2003, j’avais la garde de mon fils, au regard de l’incapacité et de l’inaptitude de la mère à s’occuper de son enfant, souvent dénoncé par les tribunaux, jugements en appel et autres signalements de professionnels médicaux et sociaux éducatifs. Ce qui a été le plus reproché à la mère de mon fils et à son compagnon, est le harcèlement moral que subit mon enfant âgé de 9 ans et suivi pour troubles comportementaux. Mon fils est positionné dans un conflit de loyauté qu’il n’a pas les capacités de gérer. Sous la menace de coups et de punitions, il doit rapporter à ses enseignants tout ce que sa mère et son compagnon lui disent de dire sur mon entourage et moi-même.
Un expert, a été désigné (cela ma coûté 340e) pour entendre mon fils. Quand ce dernier parlait de ses craintes et de ce qu’il vivait au domicile de sa mère, l’expert disait que ce n’était pas vrai et ne cherchait pas à savoir ce qui le mettait dans ce conflit de loyauté qui le déstabilise, l’effraie et le perturbe. Ces mêmes comportements ont été observé chez l’ éducateur désigné pour mon fils.
Dans une jugement du 16 juin 2008, La Juge Aux Affaires Familiales demande le transfert de domicile chez la mère sans aucune motivation ou fait pouvant expliquer cette décision, mettant mon fils dans un environnement qui lui est néfaste. Ce jugement est confirmé par La Juge Pour Enfant, le 31 juillet 2008, malgré un signalement du pédopsychiatre qui suivait mon fils, expliquant le danger qu’encourait mon fils en allant chez sa mère. Je crois que La Juge Pour Enfant ainsi que La Juge Aux Affaires Familiales n’ont aucune conscience des conséquences de leur décision prise sans avoir pris le temps et le soin de consulter tout les documents en leur possession.
Devant tant de laxisme et à la demande de mon fils, las de se faire menacer, je l’ai gardé chez moi pendant 15 jours, en attendant que La Juge Pour Enfant me reçoive le 11 février 2009. Sourde aux propos et craintes de mon fils, cette dernière a exigé que mon fils reparte avec sa mère. Je précise que le compagnon de la mère de mon fils a eu des comportements violents sur ces deux enfants. Ces derniers refusent d’aller chez leur père. La Juge Pour Enfant les a reçus le 12 février 2009, écoutés et respectés. Alors ma question est pourquoi n’a telle pas fait de même avec mon fils??
Mr Le Président De La République, si je fais mal mon travail ou si je commet des erreurs nuisant à la santé et à la sécurité d’autrui, mon employeur ou responsable me pénalisera, c’est normal. Il me semble que vous êtes le responsable entre autre des Juges, il est donc de votre devoir de faire en sorte que tout les citoyens bénéficient de la protection de la Justice et surtout le devoir de responsabiliser les Juges devant un enfant en danger. Vous conviendrez que le harcèlement moral peut être plus destructeur que des violences physiques alors si un enfant subit les deux comme mon fils, on attend quoi ?? Que les Juges fassent des excuses à titre posthume??
Mr l’Inspecteur de l’académie de Bordeaux, Mr Le Président Du Conseil Général, lors de l’audience du 11 février 2009 la Directrice de l’ITEP de Roaillan, a tenu des propos partiaux. Je trouve cela inadmissible de la part d’une directrice qui ne gère en enfant comme mon fils que d’après la parole de sa mère et de son compagnon. La Directrice a même été jusqu’à s’opposer à ce que je vienne chercher mon fils à l’école (le 13 février dernier) pour mon droit de visite, conformément aux accords passés avec La Juge Aux Affaires Familiales, le 24 septembre 2008. Mon fils a besoin de soins qu’il avait à l’ITEP Sthelin mais qui lui sont refusés à l’ITEP de Roaillan.
Mr Le Président De La République, Mme La Directrice de l’ITEP de Roaillan, Madame La Juge Aux Affaires Familiales, Madame La Juge Pour Enfant ne sont pas les seules à ignorer volontairement le mal être de mon fils, l’avocat de la mère de mon fils et l’éducateur également. Lorsque mon fils écrit de sa main qu’il se fait battre et qu’il a peur du compagnon de sa mère, on s’en moque, quand il dit qu’on le force à écrire des mensonges, on s’en fiche par contre on prend ses mensonges sans faire suivre cet enfant par un psychologue digne de ce nom et on les utilise contre moi. Je ne crois pas que ce soit cela la morale dont vous parlez Mr Le Président De La République. J’ai déjà relaté ces faits au Ministère De La Justice qui se déclare incompétent !! Ce que je trouve inadmissible de la part des Juges c’est qu’ils écoutent deux enfants, ceux du compagnon de la mère de mon fils disant ce qu’ils subissent au domicile de leur père mais que ces mêmes Juges ignorent mon fils qui subit les mêmes sévices.
Dans l’attente d’une réponse positive, veuillez agréer, Messieurs Les Présidents, mes salutations distinguées.
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courrier suite
28/03/2009 10:55
Mr A le 2 mars 2009
Mr Le Président De La République Mme Le Juge Aux Affaires Familiales Mme Le Juge Pour Enfant Mr Le Ministre De La Justice Mr Le Procureur
Mesdames, Messieurs,
Je vous sollicite de nouveau en espérant qu’un jour vous répondrez à mes nombreux courriers.
Dans un courrier du 28 janvier dernier transmis au Ministère De La Justice, je précise que je ne condamne pas un jugement je cherche juste à dénoncer une mise en danger d’enfant mineur. (réponse ci jointe du Ministère De La Justice)
Dans cette réponse, on m’informe que le Ministère De La Justice n’est pas compétent. Pourtant, il me semblait que lorsque l’on rencontre des soucis avec la Justice, le Ministère De La Justice pouvait nous aider.
Si ni le Ministère De La Justice, ni Mr Le Procureur, ni les Juges, n’y peuvent rien, alors dites moi à qui dois je m’adresser pour mettre un terme aux sévices que subit mon fils!!
Dans une audience du 11 février dernier auprès du Juge Pour Enfant, à ma demande car j’avais gardé mon fils pour le soigner, mon fils a été entendu et s’est plaint de ce qu’il subissait au domicile de sa mère. Le Juge pour Enfant ne l’a pas écouté et a exigé qu’il reparte dans l’antre de son calvaire. Depuis cette date, je suis privé de mon fils par le seul désir de sa mère et de son compagnon. Alors Est-ce pour que je ne vois pas les traces éventuelles sur le corps de mon fils ou Est-ce pour d’autres raisons??
Je vous demande d’intervenir,
Dans l’attente, veuillez agréer Mesdames, Messieurs, mes salutations distinguées.
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courrier suite
28/03/2009 10:57
Mr A le 26 janvier 2009
Mr Le Procureur Tribunal de Grande Instance 33000 Bordeaux Objet : ENFANT EN DANGER
Monsieur Le Procureur,
Je me permet de vous écrire pour vous informer que mon fils âgé de 9 ans est en danger ! Et je vous demande une audience de toute urgence ! Six ans de procédure sans aucun résultat concret, vous comprendrez que mon fils trouve cela très long surtout pour cet enfant qui est suivi thérapeutique ment depuis sa naissance.
Depuis six ans que je suis séparée de mon ex épouse, j’avais obtenu la garde de mon fils. Mais depuis six mois, un transfert de garde a eu lieu au domicile de la mère et depuis je me bats auprès du Juge Aux Affaires Familiales et au Juge Pour Enfants pour faire constater que mon fils est en danger. J’ai récupéré mon fils le weed kend du 24, 25 janvier pour mon droit de visite et je vous informe que je le garderais avec moi malgré le dernier jugement, jusqu’à ce que nous soyons reçu soit par Le Juge Aux Affaires Familiales, Juge Pour Enfants ou vous, Monsieur le procureur.
Il me semble que c’est un de vos devoirs de veiller à la protection d’un enfant mineur et mon droit et celui de mon fils d’être défendu comme tout les citoyens de la République (connus ou non, influents ou non).
Mon fils est en danger depuis six mois entre autre à cause de décisions de Justice. Il a été, en autre enlevé avec l’aval d’un gendarme, non jugé à ce jour, j’ai subi des violences physiques volontaires de la part du beau père de mon fils sans être secouru. Pendant ce temps là c’est mon fils qui en subit les conséquences .
En conséquence, avant que vous m’accordiez une audience, je souhaite vous poser une question : quand il arrivera malheur à mon enfant, vous interviendrez ?? J’envoie copie de ce courrier au Président De La République et au Ministre De La Justice.
J’utilise mon droit à la liberté d’expression et réclame la protection de la loi et de la justice. Je suis las du laxisme de la Justice Bordelaise que je trouve partiale et ciblée.
Dans l’attente, veuillez agréer, Monsieur Le Procureur, mes salutations distinguées.
Vive La France, Vive La République.
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courrier suite
28/03/2009 10:58
Mr A le 2 mars 2009
Mr Le Procureur De La République
Monsieur Le Procureur,
Pour faire suite à mes précédents courriers, je vous écris de nouveau pour vous informer d’un fait nouveau qui a eu lieu le 11 février dernier.
En effet, une audience a eu lieu auprès du Juge Pour Enfants où mon fils a été entendu. Ce dernier s’est plaint de violences subit au domicile de sa mère, par le compagnon de sa mère. D’après mon fils, sa mère serait également battue et pas à même de protéger son enfant. Le Juge Pour Enfant n’a pas jugé utile de prendre au sérieux mon fils tout comme il n’avait pas tenu compte d’un signalement, alarmant, d’un pédopsychiatre lors d’une audience antérieure.
J’ai été entendu le 26 février dernier par la gendarmerie de Cestas pour répondre d’une plainte de la mère de mon fils contre moi-même.
Depuis le 11 février dernier, la mère de mon fils ainsi que son compagnon s’opposent à ce que je vois mon fils pendant mes droits de visite avec la complicité de la Directrice de l'ITEP où est scolarisé mon fils.
D’après les propos de mon fils, il subirait des violences au domicile de sa mère. J’ai donc lors de mon audition à la gendarmerie déposé plainte contre le compagnon de la mère de mon fils pour violences volontaires sur enfant et contre la Directrice de l'ITEP et la mère et la mère de mon fils pour non assistance à enfant en danger.
J’ai moi-même été agressé par le compagnon de la mère de mon fils le 5 janvier dernier, ce qui m’a coûté huit jours d’arrêt de travail et à ce jour, aucune nouvelle de ma plainte déposée le jour de mon agression.
Dans le cas présent, il s’agit d’un enfant qui se dit maltraité !
Je vous demande d’intervenir Monsieur Le Procureur. Dans l’attente, veuillez agréer, Monsieur Le Procureur, mes salutations distinguées.
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courrier suite
28/03/2009 10:59
Mr A le 16 mars 2009
Mr Le Président Tribunal De Grande Instance 30 Rue Des Frères Bonies 33000 Bordeaux
Monsieur,
Tout d’abord, je vous remercie d’avoir répondu si rapidement à mon courrier du 16 février 2009.
En effet, vous avez eu une démarche que non pas eu les Juges bordelais avant de rendre leurs jugements qui est simplement celle de se pencher sur un dossier. Contrairement à ce que vous me répondez, ce n’est pas le jugement que je conteste, c’est le laxisme avec lequel il est rendu mettant mon fils en danger.
Si vous ou vos collaborateurs avaient le temps de vous pencher sur tous les jugements ou signalements de professionnels médicaux sociaux éducatif, alors peut être me rejoindrez vous dans mon raisonnement et ma révolte.
D’un côté, je suis surpris que dans une démocratie les juges aient réellement tout pouvoir, sinon à quoi cela servirait il qu’ils aient une hiérarchie, mais d’un autre côté, je ne suis pas surpris du peu d’intérêt qu’ils portent à un enfant maltraité. Ce qui explique sûrement qu’on ne parle de maltraitance sur enfants mineurs que quand un d’eux fait la une des faits divers.
Si j’ai demandé un accueil familial pour mon fils c’est seulement pour l’isoler de son calvaire et pour que dans un endroit neutre il puisse être suivi par un pédopsychiatre et dire vraiment tout ce qu’il subit depuis des mois voire des années, en toute liberté, sans la présence de sa mère ou de moi-même à proximité pour que la peur les menaces ou un conflit de loyauté ne l’influence.
Le paradoxe de tout ceci est que c’est celui qui maltraite mon fils qui s’oppose à mon droit de visite. Les plaintes vont aux panier tout comme les courriers aux juges et au procureur et un jour ou l’autre mon fils fera la une des fait divers et toutes les âmes bien pensantes des associations de protection de l’enfance ou tous les médias qui vont recevoir tous les courriers que j’ai fait aux magistrats, au Président de la République, aux ministères et à tout autre autorité susceptible de m’aider à protéger mon fils, diront: POURQUOI PERSONNE N’A JAMAIS RIEN DIT OU RIEN FAIT POUR PROTEGER CET ENFANT ET HYPOCRITEMENT ILS DIRONT DANS DES REPORTAGES TELEVISES A LA MEMOIRE DE MON FILS, STOP AU HARCELEMENT OU A LA MALTRAITANCE SUR ENFANT, REAGISSEZ ET PAR COMPASSION ALLEZ PORTER DES FLEURS SUR LA TOMBE DU PETIT .
Une copie de ce courrier au Président de la République et au Ministère de la Justice. qui ont eu à peu prés le même type de réponse que vous.
Veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.
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courrier suite
28/03/2009 11:00
MR A le 6 janvier 2009
Mesdames Les Juges Pour Enfants Juges Aux Affaires Familliales Tribunal De Grande Instance 33000 Bordeaux
Mesdames les Juges,
Je me permet de vous écrire de nouveau pour vous faire part encore une fois d’un fait grave pouvant mettre en danger mon fils
Que vous ne teniez pas compte de tous les jugements ou signalements effectués dans l’intêret de mon fils, c’est votre droit. Que vous ne vous consultiez pas pour pouvoir échanger les documents reçus, c’est encore votre droit.
A l’audience du Juge Pour Enfants du 31 juillet dernier, un signalement de l’ITEP faisait état du comportement de mon fils et de ses angoisses dans l’éventualité d’un transfert de résidence chez sa mère. Cela n’empêche la Juge Pour Enfants de confirmer le jugement sans élément concret de la Juge Aux Affaires Familiales. (ci-joint le bilan de compétence de mon fils) où vous pouvez constater qu’il régresse par rapport aux informations que vous avez reçu de son ancienne école. A l’école de Roaillan, mon fils n’a encore aucun suivi thérapeutique depuis le mois septembre (5 mois) et n’a plus aucun repère.
Si je vous écris à nouveau c’est parce que mon fils est réellement en danger depuis votre décision du 16 juin dernier et du 4 juillet dernier. Mon fils est toujours et encore déstabilisé, je le constate à chaque droit de visite. Il est toujours et encore manipulé par sa mère et son compagnon. Il a en autre les consignes de m’appeler par mon prénom quand je l’ai avec moi. Le 4 août dernier, il m’est enlevé par sa mère et son compagnon contrairement à vos jugements, ça n’alerte ni la police, ni le procureur, ni les juges. (je joint également ci-joint un jugement rendu le 10 décembre 08 concernant les deux petits du compagnon de la mère de mon fils Jugement qui réduit les droits de visite du compagnon à la demande de sa fille qui n’a que 10 ans, qui a envoyé un courrier aux Juges, qui a été convoqué par le Juge aux Affaires Familiales, seule, sans que son père soit derrière elle pour l’influencer ou la menacer. Je vous le demande, que fait mon fils là bas??
Le dimanche 4 janvier 2009, comme détaillé dans la plainte ci jointe, j’ai été agressé physiquement par le compagnon de la mère de mon fils sans aucune raison ( il était ivre) mais mon appel au secours des gendarmes ne les a pas convaincu de le constater par eux-mêmes. Pour cette raison, je vous informe que je ne ramènerai pas mon fils dimanche soir chez sa mère. Je ne prendrai pas le risque de me faire agresser une deuxième fois, ni de mettre en danger, mon fils. Je le ramènerai à l’école lundi matin. Je ne me présenterai plus au domicile de la mère de mon fils tant que la police ne l’aura pas condamné à quelque peine que ce soit. Mon fils est en danger, j’en suis persuadé et j’aimerais que vous interveniez avant qu’il ne soit trop tard. Je demande de nouveau comme je l’ai déjà fait à la Juge Pour Enfants de PLACER mon fils EN ACCUEIL FAMILLIALE pour l’isoler et lui permettre d’évoluer , d’être soigner et de vivre normalement comme un petit garçon de 9 ans et ne plus partir chez sa mère avec la boule au ventre. Je voudrais que vous l’imaginiez !! Un éventuel retour de mon fils à mon domicile n’arrêterait pas les pressions et le harcèlement qu’il subit depuis déjà trop longtemps.
Lorsque je demande à mon fils de s’exprimer, il répond qu’il ne veut rien dire parce qu’il ne veut pas se faire taper… Egalement, trois courriers de mon fils que j’ai retrouvé caché sous son lit. Je vous le signale pour que vous sachiez quelles sont les activités d’un petit garçon de 9 ans qui je crois mériterai bien d’autres activités. Je ne ferai pas la copie car c’est mon fils qui les a écrits.
Dans l’intêret de mon fils, je vous demande d’INTERVENIR.
Une copie de ce courrier partira également au Procureur de La République, au Ministère De La Justice et au Ministère de la Santé en leur expliquant ce que nos enfants subissent depuis de longues années et que rien n a été mis en œuvre pour les protéger et mettre fins aux agissements dangereux de la mère de mon fils et de son compagnon. Dans l’attente, veuillez agréer, Mesdames les Juges, mes salutations les meilleures.
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courrier suite
28/03/2009 11:02
Mr A le 26 janvier 2009
Mme la Juge Aux Affaires Familiales Mme la Juge Pour Enfants Mr Le Procureur
Objet : demande d’audience urgente Ou référé d’heure à heure ENFANT EN DANGER
Mesdames, Messieurs,
Par la présente, je vous informe que j’ai récupéré mon fils ce weed kend dernier et que je le garderais avec moi, malgré le dernier jugement, à sa demande, jusqu’à ce que ce dernier soit placé de toute urgence et en attendant notre prochaine audience.
Dans le courrier destinée à Mme la Juge Pour Enfants, je joint le rapport de l‘expert psychiatre. Comme vous le constaterez, malgré le peu de crédit qu’il porte aux propos de mon fils, l’expert psychiatre dénonce un mal être de mon fils. Il n’était peut être pas nécessaire de payer 680e pour lire ça et si vous vous étiez penchée sur les signalements et documents en votre possession, vous aurez sûrement compris que ça fait très longtemps que mon fils avait ces problèmes qui s’étaient estompés dans sa prise en charge à l’Itep Sthelin et qui ont refait surface et se sont aggravés depuis que vous avez décidé de le transférer dans un contexte qui lui est néfaste.
Dans un courrier que j’ai écrit au Président De La République et au Ministre de la Justice, dans un premier temps, je fais part de mes sentiments à vos décisions qui je suis certain, vont à l’encontre de l’équilibre et de la santé de mon fils.
Je précise que depuis mon agression par le compagnon de la mère de mon fils et mon refus de me mettre en danger, je n’ai plus le droit de récupérer mon fils à l’école ainsi en décidé la mère de mon fils ainsi que son compagnon. Nous sommes le 25 janvier, je vous demande de déclancher un référé d’heure à heure. Je souhaiterai qu’à cette prochaine audience, vous preniez le temps d’écouter mon fils qui apeuré par le compagnon de mon fils ne veut plus retourner chez celui-ci.
Je vous rappelle que les deux enfants du compagnon de la mère de mon fils ont refusé d’aller chez leur père le weed kend du 17, 18 janvier car ils se sentent en danger, les gendarmes l’ont constaté au domicile de la mère des deux petits. Alors il est évident que mon fils soit également en danger. Les constatations de l'expert et le bilan de l’ITEP de Roaillan le démontre.
Je vous demande donc d’intervenir en urgence.
Dans l’attente, veuillez agréer, Mesdames, Messieurs, mes salutations distinguées.
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