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courrier suite
28/03/2009 10:53
Mr A le 13 mars 2009
Juge Aux Affaires Familiales
Madame La Juge,
Pour faire suite à la décision de la Juge Pour Enfants rendue le 12 février dernier.
Mon fils n’a pas été scolarisé durant plusieurs semaines lorsque je l’ai gardé avec moi car il était malade. La Juge Pour Enfants cite une partie des propos assez vagues de l‘expert, psychiatre qu’elle interprète à sa façon. Que je ne puisse pas contester les Juges ayant tout pouvoir, c’est un faite mais dans aucune des décisions de la Juge Pour Enfants elle ne parle du signalement reçu en pleine audience le 31 juillet 2008 fait par le pédopsychiatre de l’ITEP Sthelin parlant du danger que courait mon fils en allant vivre chez sa mère et comment l’enfant y réagissait.
Que la Juge Pour Enfants prenne partie contre moi et qu’elle ne tiend pas compte du fait que mon fils soit harcelé ou maltraité, c’est son droit maintenant peut être que vous Madame La Juge Aux Affaires Familiales pourrait m’expliquer comment je fais pour voir mon fils alors que le compagnon de la mère de mon fils s’y ait encore violemment opposé le vendredi 13 mars dernier. Mon fils était affolé par la réaction du compagnon, j’ai préféré ne pas lui en rajouter et suis reparti sans mon fils. Je tiens à vous préciser que je n’ai pas revu mon fils depuis le 11 février. Le compagnon de la mère de mon fils se venge du fait que ses propres enfants refusent d’aller chez lui pour les violences qu’ils y subissent et ne veut plus me rendre mon fils. Ce qu’il a clairement dit devant la médiatrice. Mon fils a peut être besoin de voir sa mère mais doit il être harcelé et maltraité pour cela? J’espère vous faire changer d’opinion lorsque je serais parvenu à faire entendre mon fils par un vrai professionnel sans que ni sa mère ni moi-même ni personne ne soit à proximité de lui pour l’influencer ou le menacer comme cela s’est produit avant votre audience avec l‘éducateur de l‘AEMO ou encore l‘expert psychiatre. J’espère seulement y parvenir avant que mon fils ne devienne une victime et qu’il fasse la une des faits divers.
Veuillez agréer, Madame La Juge, mes salutations distinguées.
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