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courrier suite
28/03/2009 10:54
Ne regardez pas les dates des courriers, regardez seulement leurs contenus qui démontrent le titre du blog le harcèlement n'est pas pris en compte par le Président De La République, La Ministre De La Justice, Les Juges, Le Procureur...
Mr A le 16 février 2009
Mr Le Président Du Tribunal Mr Le Procureur De La République Mr Le Président De La République Mr l’Inspecteur Académique Me Le Président Du Conseil Général
Messieurs les Présidents,
Je m’adresse à vous car d’après mes recherches, c’est vous qui avaient autorité sur les Juges Bordelais. Ce courrier comme les nombreux aux mêmes sujets ne seront certainement pas pris en considération mais je tenais à le faire.
Depuis le départ de mon ex épouse en 2003, j’avais la garde de mon fils, au regard de l’incapacité et de l’inaptitude de la mère à s’occuper de son enfant, souvent dénoncé par les tribunaux, jugements en appel et autres signalements de professionnels médicaux et sociaux éducatifs. Ce qui a été le plus reproché à la mère de mon fils et à son compagnon, est le harcèlement moral que subit mon enfant âgé de 9 ans et suivi pour troubles comportementaux. Mon fils est positionné dans un conflit de loyauté qu’il n’a pas les capacités de gérer. Sous la menace de coups et de punitions, il doit rapporter à ses enseignants tout ce que sa mère et son compagnon lui disent de dire sur mon entourage et moi-même.
Un expert, a été désigné (cela ma coûté 340e) pour entendre mon fils. Quand ce dernier parlait de ses craintes et de ce qu’il vivait au domicile de sa mère, l’expert disait que ce n’était pas vrai et ne cherchait pas à savoir ce qui le mettait dans ce conflit de loyauté qui le déstabilise, l’effraie et le perturbe. Ces mêmes comportements ont été observé chez l’ éducateur désigné pour mon fils.
Dans une jugement du 16 juin 2008, La Juge Aux Affaires Familiales demande le transfert de domicile chez la mère sans aucune motivation ou fait pouvant expliquer cette décision, mettant mon fils dans un environnement qui lui est néfaste. Ce jugement est confirmé par La Juge Pour Enfant, le 31 juillet 2008, malgré un signalement du pédopsychiatre qui suivait mon fils, expliquant le danger qu’encourait mon fils en allant chez sa mère. Je crois que La Juge Pour Enfant ainsi que La Juge Aux Affaires Familiales n’ont aucune conscience des conséquences de leur décision prise sans avoir pris le temps et le soin de consulter tout les documents en leur possession.
Devant tant de laxisme et à la demande de mon fils, las de se faire menacer, je l’ai gardé chez moi pendant 15 jours, en attendant que La Juge Pour Enfant me reçoive le 11 février 2009. Sourde aux propos et craintes de mon fils, cette dernière a exigé que mon fils reparte avec sa mère. Je précise que le compagnon de la mère de mon fils a eu des comportements violents sur ces deux enfants. Ces derniers refusent d’aller chez leur père. La Juge Pour Enfant les a reçus le 12 février 2009, écoutés et respectés. Alors ma question est pourquoi n’a telle pas fait de même avec mon fils??
Mr Le Président De La République, si je fais mal mon travail ou si je commet des erreurs nuisant à la santé et à la sécurité d’autrui, mon employeur ou responsable me pénalisera, c’est normal. Il me semble que vous êtes le responsable entre autre des Juges, il est donc de votre devoir de faire en sorte que tout les citoyens bénéficient de la protection de la Justice et surtout le devoir de responsabiliser les Juges devant un enfant en danger. Vous conviendrez que le harcèlement moral peut être plus destructeur que des violences physiques alors si un enfant subit les deux comme mon fils, on attend quoi ?? Que les Juges fassent des excuses à titre posthume??
Mr l’Inspecteur de l’académie de Bordeaux, Mr Le Président Du Conseil Général, lors de l’audience du 11 février 2009 la Directrice de l’ITEP de Roaillan, a tenu des propos partiaux. Je trouve cela inadmissible de la part d’une directrice qui ne gère en enfant comme mon fils que d’après la parole de sa mère et de son compagnon. La Directrice a même été jusqu’à s’opposer à ce que je vienne chercher mon fils à l’école (le 13 février dernier) pour mon droit de visite, conformément aux accords passés avec La Juge Aux Affaires Familiales, le 24 septembre 2008. Mon fils a besoin de soins qu’il avait à l’ITEP Sthelin mais qui lui sont refusés à l’ITEP de Roaillan.
Mr Le Président De La République, Mme La Directrice de l’ITEP de Roaillan, Madame La Juge Aux Affaires Familiales, Madame La Juge Pour Enfant ne sont pas les seules à ignorer volontairement le mal être de mon fils, l’avocat de la mère de mon fils et l’éducateur également. Lorsque mon fils écrit de sa main qu’il se fait battre et qu’il a peur du compagnon de sa mère, on s’en moque, quand il dit qu’on le force à écrire des mensonges, on s’en fiche par contre on prend ses mensonges sans faire suivre cet enfant par un psychologue digne de ce nom et on les utilise contre moi. Je ne crois pas que ce soit cela la morale dont vous parlez Mr Le Président De La République. J’ai déjà relaté ces faits au Ministère De La Justice qui se déclare incompétent !! Ce que je trouve inadmissible de la part des Juges c’est qu’ils écoutent deux enfants, ceux du compagnon de la mère de mon fils disant ce qu’ils subissent au domicile de leur père mais que ces mêmes Juges ignorent mon fils qui subit les mêmes sévices.
Dans l’attente d’une réponse positive, veuillez agréer, Messieurs Les Présidents, mes salutations distinguées.
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