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courrier suite
28/03/2009 10:57
Mr A le 26 janvier 2009
Mr Le Procureur Tribunal de Grande Instance 33000 Bordeaux Objet : ENFANT EN DANGER
Monsieur Le Procureur,
Je me permet de vous écrire pour vous informer que mon fils âgé de 9 ans est en danger ! Et je vous demande une audience de toute urgence ! Six ans de procédure sans aucun résultat concret, vous comprendrez que mon fils trouve cela très long surtout pour cet enfant qui est suivi thérapeutique ment depuis sa naissance.
Depuis six ans que je suis séparée de mon ex épouse, j’avais obtenu la garde de mon fils. Mais depuis six mois, un transfert de garde a eu lieu au domicile de la mère et depuis je me bats auprès du Juge Aux Affaires Familiales et au Juge Pour Enfants pour faire constater que mon fils est en danger. J’ai récupéré mon fils le weed kend du 24, 25 janvier pour mon droit de visite et je vous informe que je le garderais avec moi malgré le dernier jugement, jusqu’à ce que nous soyons reçu soit par Le Juge Aux Affaires Familiales, Juge Pour Enfants ou vous, Monsieur le procureur.
Il me semble que c’est un de vos devoirs de veiller à la protection d’un enfant mineur et mon droit et celui de mon fils d’être défendu comme tout les citoyens de la République (connus ou non, influents ou non).
Mon fils est en danger depuis six mois entre autre à cause de décisions de Justice. Il a été, en autre enlevé avec l’aval d’un gendarme, non jugé à ce jour, j’ai subi des violences physiques volontaires de la part du beau père de mon fils sans être secouru. Pendant ce temps là c’est mon fils qui en subit les conséquences .
En conséquence, avant que vous m’accordiez une audience, je souhaite vous poser une question : quand il arrivera malheur à mon enfant, vous interviendrez ?? J’envoie copie de ce courrier au Président De La République et au Ministre De La Justice.
J’utilise mon droit à la liberté d’expression et réclame la protection de la loi et de la justice. Je suis las du laxisme de la Justice Bordelaise que je trouve partiale et ciblée.
Dans l’attente, veuillez agréer, Monsieur Le Procureur, mes salutations distinguées.
Vive La France, Vive La République.
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