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courrier suite
28/03/2009 11:00
MR A le 6 janvier 2009
Mesdames Les Juges Pour Enfants Juges Aux Affaires Familliales Tribunal De Grande Instance 33000 Bordeaux
Mesdames les Juges,
Je me permet de vous écrire de nouveau pour vous faire part encore une fois d’un fait grave pouvant mettre en danger mon fils
Que vous ne teniez pas compte de tous les jugements ou signalements effectués dans l’intêret de mon fils, c’est votre droit. Que vous ne vous consultiez pas pour pouvoir échanger les documents reçus, c’est encore votre droit.
A l’audience du Juge Pour Enfants du 31 juillet dernier, un signalement de l’ITEP faisait état du comportement de mon fils et de ses angoisses dans l’éventualité d’un transfert de résidence chez sa mère. Cela n’empêche la Juge Pour Enfants de confirmer le jugement sans élément concret de la Juge Aux Affaires Familiales. (ci-joint le bilan de compétence de mon fils) où vous pouvez constater qu’il régresse par rapport aux informations que vous avez reçu de son ancienne école. A l’école de Roaillan, mon fils n’a encore aucun suivi thérapeutique depuis le mois septembre (5 mois) et n’a plus aucun repère.
Si je vous écris à nouveau c’est parce que mon fils est réellement en danger depuis votre décision du 16 juin dernier et du 4 juillet dernier. Mon fils est toujours et encore déstabilisé, je le constate à chaque droit de visite. Il est toujours et encore manipulé par sa mère et son compagnon. Il a en autre les consignes de m’appeler par mon prénom quand je l’ai avec moi. Le 4 août dernier, il m’est enlevé par sa mère et son compagnon contrairement à vos jugements, ça n’alerte ni la police, ni le procureur, ni les juges. (je joint également ci-joint un jugement rendu le 10 décembre 08 concernant les deux petits du compagnon de la mère de mon fils Jugement qui réduit les droits de visite du compagnon à la demande de sa fille qui n’a que 10 ans, qui a envoyé un courrier aux Juges, qui a été convoqué par le Juge aux Affaires Familiales, seule, sans que son père soit derrière elle pour l’influencer ou la menacer. Je vous le demande, que fait mon fils là bas??
Le dimanche 4 janvier 2009, comme détaillé dans la plainte ci jointe, j’ai été agressé physiquement par le compagnon de la mère de mon fils sans aucune raison ( il était ivre) mais mon appel au secours des gendarmes ne les a pas convaincu de le constater par eux-mêmes. Pour cette raison, je vous informe que je ne ramènerai pas mon fils dimanche soir chez sa mère. Je ne prendrai pas le risque de me faire agresser une deuxième fois, ni de mettre en danger, mon fils. Je le ramènerai à l’école lundi matin. Je ne me présenterai plus au domicile de la mère de mon fils tant que la police ne l’aura pas condamné à quelque peine que ce soit. Mon fils est en danger, j’en suis persuadé et j’aimerais que vous interveniez avant qu’il ne soit trop tard. Je demande de nouveau comme je l’ai déjà fait à la Juge Pour Enfants de PLACER mon fils EN ACCUEIL FAMILLIALE pour l’isoler et lui permettre d’évoluer , d’être soigner et de vivre normalement comme un petit garçon de 9 ans et ne plus partir chez sa mère avec la boule au ventre. Je voudrais que vous l’imaginiez !! Un éventuel retour de mon fils à mon domicile n’arrêterait pas les pressions et le harcèlement qu’il subit depuis déjà trop longtemps.
Lorsque je demande à mon fils de s’exprimer, il répond qu’il ne veut rien dire parce qu’il ne veut pas se faire taper… Egalement, trois courriers de mon fils que j’ai retrouvé caché sous son lit. Je vous le signale pour que vous sachiez quelles sont les activités d’un petit garçon de 9 ans qui je crois mériterai bien d’autres activités. Je ne ferai pas la copie car c’est mon fils qui les a écrits.
Dans l’intêret de mon fils, je vous demande d’INTERVENIR.
Une copie de ce courrier partira également au Procureur de La République, au Ministère De La Justice et au Ministère de la Santé en leur expliquant ce que nos enfants subissent depuis de longues années et que rien n a été mis en œuvre pour les protéger et mettre fins aux agissements dangereux de la mère de mon fils et de son compagnon. Dans l’attente, veuillez agréer, Mesdames les Juges, mes salutations les meilleures.
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