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courrier suite
28/03/2009 11:06
Mr A le 23 mars 2009
Directrice ITEP Roaillan
Madame La Directrice de l’ITEP Roaillan,
Pour répondre à votre courrier du 13 mars dernier, vous démontrez une fois de plus que vous vous occupez de choses qui ne vous concerne pas personnellement en vous faisant le porte parole de la mère de mon fils.
Je vous précise que si vous ne vous opposiez pas à mon droit de visite, mon fils aurait son cartable mais je vous rappelle que depuis l’audience avec la Juge Pour Enfant du 11 février dernier où vous étiez présente, je n’ai pas revu mon fils pour en autre, lui remettre son cartable et je crois que ce que subit mon fils depuis des mois au domicile de sa mère est beaucoup plus grave.
De ce fait, en vous positionnant aux côtés de la mère de mon fils et de son compagnon, personnes en infraction envers la loi et de surcroît maltraitant, vous vous mettez également en infraction.
De plus, vous parlez de points de repères de mon fils, je suis un de ses points de repères dont vous le privez et d’après vos propos et vos attitudes, je ne crois pas que vous portiez beaucoup d’intérêt au bien être de mon fils.
Par rapport au bilan des compétences du second trimestre de mon fils, je constate une fois de plus qu’il régresse aussi bien sur un plan scolaire que psychologique. Il est loin du niveau et de la stabilité qu’il avait à l’ITEP Sthelin. Il est vrai que l’enseignement tout comme les soins qu’il y recevait était plus adapté, voire plus complet.
Dans votre courrier du 16 mars dernier vous souhaitez me rencontrer le mardi 7 avril à 14h. Je vous rappelle que j’ai une activité professionnelle. Je vous propose le vendredi 27 mars à 15h, c’est-à-dire 30 mn avant que je ne reparte avec mon fils pour droit de visite. Je suppose que vous ne vous y opposerez pas à chaque fois si vous pensez vraiment au petit.
Je fais parvenir une copie de ce courrier à l’Inspecteur Académique et au Président du Conseil Général en espérant qu’un de vos responsables ou supérieur sera présent lors de notre entretien. Ce serait une bonne occasion pour expliquer votre non respect d’une décision de justice.
Dans l’attente, veuillez agréer, Madame, mes salutations les meilleures.
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